mercredi 27 janvier 2010

Le travail c'est la santé


Je suis un amoureux des mots, j'adore jouer avec. Avec la langue française, nous avons de la chance, les possibilités sont quasi infinies. Et ce qui m'amuse particulièrement ce sont les expressions idiomatiques... Un exemple parmi tant d'autres : Le travail c'est la santé.

Sincèrement, je me demande bien qui a pu prononcer le premier une pareille hérésie. Le travail fatigue, stresse, peut ennuyer parfois, voire asservir ou tuer, mais n'est certainement pas bon pour la santé. Alors, qui a osé dire ça ?
Peut-être Nicolas Sarkozy, qui souhaite que les Français travaillent plus pour gagner plus. En attendant, le nombre de chômeurs en France ne cesse d'augmenter, et le pouvoir d'achat, lui, suit la pente inverse.
Peut-être Roselyne Bachelot, notre chère ministre de la Santé, justement. Mais se rendre à son travail étant le meilleur moyen de se faire contaminer par la grippe A ou la gastro, ce n'est sûrement pas elle. Elle adore faire des boulettes, mais tout de même...

Histoire d'en savoir plus, j'ai fait ce que tout le monde aurait fait en pareil cas, j'ai lancé une recherche sur Google afin de trouver l'origine de cette expression. Et je suis arrivé sur les paroles d'une chanson d'Henri Salvador, intitulée "Le Travail c'est la santé". Par contre, ce que certains ignorent peut-être, et j'en faisais partie, c'est la suite des paroles : «Le travail, c'est la santé. Rien faire, c'est la conserver. Les prisonniers du boulot ne font pas de vieux os.» On nous aurait donc menti, le travail n'est pas si bénéfique que ça ?
D'ailleurs, toute cette histoire m'évoque une autre citation, de Tristan Bernard, que je trouve fort savoureuse : «L'homme n'est pas fait pour travailler, et la preuve c'est que cela le fatigue.»

dimanche 24 janvier 2010

To believe (in God) or not ?

Parmi le déferlement d'images qui a suivi le dramatique séïsme en Haïti il y a un peu moins de deux semaines, il y en a une qui m'a particulièrement frappé : des dizaines d'Haïtiens rescapés, marchant les uns derrière les autres et chantant pour remercier Dieu de les avoir épargnés. Personnellement, j'estime que s'il y a bien une chose dont on peut être certain après ce genre de catastrophes, c'est que Dieu n'existe pas. En effet, Lui qui n'est qu'amour, pardon et compassion, pourquoi tuerait-il tant de ses "créatures", qui plus est de celles qui croient le plus en lui ? Même si je sais que les voies du Seigneur sont impénétrables, pourquoi permettre, voire même provoquer, une telle horreur ? C'est totalement incompréhensible... L'explication la plus plausible reste donc que Dieu n'existe pas. Mais qu'on vienne me démontrer le contraire, je suis toute ouïe...

Pour continuer sur le même sujet, légèrement polémique j'en ai conscience, je suis allé voir il y a quelques jours Agora au cinéma. Ce film raconte, en gros, la chute de l'Empire romain, l'émergence de la religion chrétienne face aux cultes païens et l'établissement de son église, en se focalisant sur un lieu précis, Alexandrie. Où l'on apprend, si jamais on ne le savait pas encore, que dès son origine, le christianisme était marqué par l'intolérance, l'embrigadement des esprits et la destruction de tout (l'homme et ce qu'il a créé) ce qu'il juge contraire à son dogme. Et où l'on a donc confirmation que l'être humain a commis les pires atrocités au nom de Dieu et que la religion ne lui a jamais apporté rien de bon, si ce n'est les églises...

Je ne crois pas en Dieu, vous l'aurez peut-être remarqué. Je n'ai jamais cru en lui. A une époque j'ai cru en mon ange gardien, et puis j'ai abandonné cette idée quand je me suis fait larguer par une femme que j'aimais. En revanche, je crois aux fantômes, aux extra-terrestres et aux vampires. Mais je fais mienne la phrase de Karl Marx : «La religion est l'opium du peuple.»

mardi 19 janvier 2010

De la beauté des femmes


Je ne suis pas une femme, vous l'aurez remarqué, mais elles restent pour moi un mystère insondable que j'essaye de percer depuis... ma puberté à peu près. Et parfois mes réflexions prennent forme écrite. Il y a notamment une question qui m'interroge depuis longtemps : Etre belle pour une femme, est-ce une bénédiction ou une malédiction ?

A en croire les médias, une bénédiction, puisqu'ils ont érigé la beauté et la perfection en modèle à suivre. Il suffit de voir quelle position occupent les top modèles ou les actrices dans notre société, perchées tout en haut. Il suffit de regarder les publicités pour constater quel modèle on cherche à nous vendre.

A en croire les hommes, une bénédiction également, puisque bêtes comme nous sommes, nous sommes bien évidemment plus attirés par les jolies femmes, et pour une majorité d'entre-nous, nous ne nous préoccupons que de l'apparence et de la surface des choses, sans guère creuser en profondeur. "Sois belle et tais-toi", en somme.

A en croire les femmes, c'est plus complexe, bien évidemment!! Les premières intéressées vous expliqueront qu'être belle c'est terrible, puisque très souvent elles sont réduites à ça : leur beauté. Comme par hasard, ce seront toujours des jolies filles qui vous tiendront ce discours, pas les moches. Mais si les laides aimeraient sûrement être belles, les belles aimeraient-elles être laides ? Pas sûr... Paradoxe féminin, certainement. Elles ne supportent pas qu'on ne s'intéresse à elles que pour leur beauté, mais ne supporteraient pas de ne plus être aussi séduisantes, et surtout n'acceptent pas qu'on ne les remarque pas. D'ailleurs, il est assez cocasse de noter que, la plupart du temps, les filles qui ne mettent pas de photos sur leur profil sur les sites de rencontres justifient cet "oubli" par leur désir de ne pas être jugées sur leur seul physique. Comme s'il était possible de juger quelqu'un au premier abord autrement que sur son physique. Bien sûr, les filles, elles, ne s'intéressent nullement à l'apparence des garçons qu'elles rencontrent, contrairement à nous qui ne voyons que ça. Mais bref, je m'éloigne du sujet initial...

De toute façon, quand je pense aux femmes, j'en arrive toujours à la même conclusion : elles sont trop paradoxales pour être comprises, tout du moins par mon cerveau limité de mâle. Alors, quelle conclusion peut-on apporter à cette analyse ? Que ce soit pour une femme, ou pour un homme d'ailleurs, il est forcément plus facile d'être beau que moche. C'est un critère de sélection au sein de la race humaine, au même titre que l'argent, l'intelligence, la position sociale, et cela permet de se distinguer et, éventuellement, de réussir sa vie. Certains ne basent d'ailleurs leur réussite que sur ce critère, leur beauté leur permet d'être mondialement connu et riche. Mais que deviennent-ils en vieillissant ? Ils vivent de leur rente et disparaissent dans l'oubli, le plus souvent. C'est également un critère de discrimination, au même titre que la couleur de la peau, il suffit de faire la queue pour entrer dans un club branché pour s'en rendre compte. Il n'en demeure pas moins que dans notre société où l'apparence a pris le pas sur tout, ou paraître est bien plus important qu'être, ou posséder est plus important que penser, la beauté offre certainement autant qu'elle prend, elle ajoute autant qu'elle réduit.

En guise de derniers mots, je laisserai la parole à mon maître à penser, F. B. : "On dit souvent que la beauté est aux femmes ce que le pouvoir est aux hommes : leur premier atout de séduction. On ne dit pas qu'un joli visage est aussi une barrière. La beauté attire les crétins vulgaires et laids, et effraie les timides intelligents et tendres. Elle effectue un mauvais tri ; c'est pourquoi les jolies filles sont toujours avec des connards."

vendredi 15 janvier 2010

Archive : Fuck U


Parce qu'on a tous eu envie au moins une fois dans sa vie de crier sa haine à un être du sexe opposé qui nous aurait fait du mal, intentionnellement ou pas, parce qu'on a tous eu envie au moins une fois de lui cracher des horreurs à la figure... Parce que parfois ça fait du bien, même si ça fait du mal!! Un groupe britannique appelé Archive a écrit il y a près de dix ans une chanson parfaite pour remplir cet office, nommée de manière fort à propos Fuck U. Je vous laisse le plaisir de traduire les paroles vous-mêmes... Et comme toujours en bonus, le clip, enfin plutôt un concert.

«There's a look on your face I would like to knock out
See the sin in your grin and the shape of your mouth
All I want is to see you in terrible pain
Though we won’t ever meet I remember your name

Can't believe you were once just like anyone else
then you grew and became like the devil himself
Pray to God I think of a nice thing to say
But I don't think I can so fuck you anyway

You`re a scum, you`re a scum and I hope that you know
That the cracks in your smile are beginning to show
Now the world needs to see that it's time you should go
There's no light in your eyes and your brain is too slow

Can't believe you were once just like anyone else
then you grew and became like the devil himself
Pray to God I can think of a nice thing to say
But I don't think I can so fuck you anyway

Bet you sleep like a child with your thumb in your mouth
I could creep up beside put a gun in your mouth
makes me sick when I hear all the shit that you say
so much crap coming out it must take you all day

There's a space kept in hell with your name on the seat
With a spike in the chair just to make it complete
When you look at yourself do you see what I see
If you do why the fuck are you looking at me

There’s a time for us all and I think yours has been
Can you please hurry up cos I find you obscene
We can’t wait for the day that you’re never around
When that face isn’t here and you rot underground

Can’t believe you were once just like anyone else
Then you grew and became like the devil himself
Pray to god I can think of a nice thing to say
But I don’t think I can so fuck you anyway

So fuck you anyway»

mardi 12 janvier 2010

Mea culpa

Histoire de ne pas passer pour ce que je ne suis pas, c'est à dire un garçon aigri, paranoïaque et qui estime que ce n'est jamais sa faute si ses relations sentimentales ne marchent pas, je vais vous parler un peu de moi.
Voilà, en gros, pourquoi je suis toujours célibataire à bientôt 33 ans :
Je suis un handicapé des sentiments, et je ne m'en cache pas. Autant je pouvais encore avoir des doutes à ce sujet lorsque j'avais 20 ans, autant j'en suis sûr et certain depuis que j'ai atteint la trentaine. Je n'arrive pas à construire de relations stables et épanouissantes avec mes congénères féminines, j'en veux toujours trop et trop vite, je mets une pression considérable sur mes épaules et sur celles de ma partenaire, ce qui nous empêche de nous découvrir sereinement. A mes côtés elle se sent oppressée, paralysée car toujours dans la crainte de faire une erreur. Je n'arrive pas à la mettre à l'aise, à la faire se sentir bien, et ça la fait fuir, évidemment.

Après avoir connu près d'une trentaine de femmes, je pense sincèrement ne pas être fait pour la vie à deux. Je suis trop indépendant, romantique, sensible, oppressant, exigeant, entier ; je n'ai pas assez confiance en moi et je ne comprends pas qu'une fille puisse s'intéresser à moi, j'ai donc toujours l'impression d'être un imposteur qui va bientôt être découvert, que ma partenaire va me quitter, alors - inconsciemment - je fais tout pour que ça arrive, afin de me donner raison ; je me livre à la fois trop et pas assez dans chacune de mes relations, et le fais souvent maladroitement ; je donne beaucoup à la femme que j'aime mais en attends autant en retour (grave erreur, l'amour est un don, pas un troc) et je suis dès lors toujours déçu ; j'ai été tellement abîmé que je ne suis aujourd'hui plus capable de faire confiance.

Pour ma défense, j'ajouterais que je suis très souvent au mauvais endroit au mauvais moment, et rencontre des femmes qui ne savent pas ce qu'elles veulent, soit à cause d'un problème de timing (rupture, boulot, etc...), soit par ce que c'est tout simplement dans leur nature de ne pas savoir ce qu'elles veulent, s'engager ou pas, s'intéresser à l'autre ou pas, se laisser une chance d'apprendre à le connaître, ne pas craquer pour le premier venu ou pas, etc... Je me souviens lors d'une visite du château de Chambord avoir lu une peinture où figurait l'inscription suivante : « Souvent femme varie. Bien fol qui s'y fie. » En cinq siècles, rien n'a changé.

En résumé, je suis un homme imparfait qui rencontre des femmes qui se croient plus-que-parfaites.

jeudi 7 janvier 2010

Etoile des neiges, pays merveilleux...


...où les gens qui s'aiment, vivent à deux.
Pour la deuxième fois depuis le début de l'hiver, la France est recouverte d'un blanc manteau neigeux. Et comme à chaque fois en pareilles circonstances, notre pauvre France se retrouve toute paralysée. Il faut dire que c'est étonnant, la neige en hiver! A l'heure du réchauffement climatique, en effet ça peut surprendre, mais non, c'est juste normal, logique, prévisible. Ça n'empêche pas pour autant de mettre le pays sens dessus dessous.

Routes bloquées, transports scolaires suspendus, passagers de la SNCF en galère, salariés absents, professeurs et élèves aussi, sans parler des SDF qui meurent de froid... Bref c'est la MERDE!!! Et encore nous vivons dans un pays riche, la cinquième puissance mondiale. On pourrait croire, et espérer, que les instances dirigeantes, quelles qu'elles soient, sachent réagir dans un cas comme ça, afin de maintenir la bonne marche du pays et de ses habitants. Mais non, à chaque fois c'est la même chose, la même galère...
«Gouverner c'est prévoir», disait Emile de Girardin, un journaliste du XIXe siècle (Paix à son âme). A croire que nous sommes bien mal gouvernés. Cela dit, il paraît aussi qu'on a les dirigeants qu'on mérite. Nous ne pouvons donc nous en prendre qu'à nous-mêmes...

Le seul avantage de ce temps, c'est cette impression de retomber en enfance, lorsqu'on partait à la montagne avec ses parents et que pendant une semaine on vivait sur une autre planète. La neige nous replonge quand on avait six ans pendant quelques heures... Et puis plus besoin de partir au ski pour sentir le moelleux de la poudre blanche sous ses pieds, il est à portée de chaussures, même en plaine. Il ne manque plus qu'un verre de vin rouge, une bonne raclette, quelques batailles de boules de neige et éclats de rire, et le tour est joué!

mercredi 6 janvier 2010

A tribute to F. B.


Ce type, je ne sais pas trop pourquoi, mais je l'aime bien. Peut-être est-ce parce que nous avons les mêmes initiales ? Quand je lis ce qu'il écrit, ça me fait souvent rire, même si tous ses romans ne se valent pas (mention spéciale à 99 Francs et L'Egoïste romantique, mention anti-spéciale à Au Secours pardon). Et puis j'aime bien son style ironique, blasé, ce personnage d'ado attardé de 35 ans qui passe ses nuits à boire, se camer et baiser, mais romantique devant l'éternel. Après tout, tous les mecs rêvent de ça, un peu, quelque part... Certes, son personnage public m'exaspère parfois, et je comprends parfaitement qu'on puisse le détester, mais j'ai pour habitude de séparer l'artiste du personnage médiatique, son oeuvre de sa vie.
Voici donc un florilège de citations pêchées dans ses romans :

Ecrire, c'est lire en soi.

Sa vie n'est qu'une longue frustration nommée bonheur

Les hommes sont toujours entre une ex et une future car le présent ne les intéresse pas. Nous sommes toujours coincés entre deux absentes.

Je ne cherche pas le bonheur, tout juste une harmonie entrecoupée d'extases.

Plus je gagne d'argent, moins ma vie est enrichissante.

Toutes mes déclarations d'amour arrivent soit trop tôt, soit trop tard. Parce que je ne dis je t'aime que pour séduire ou rassurer.

Je fuis celle qui me plaît, j'ai peur de celle qui m'attire, j'évite celle qui m'aime, je drague celles qui s'en foutent.

Il y a des jours avec et des mois sans.

Le seul moyen de ne pas choper la grosse tête, c'est de l'avoir toujours eue.

Avec un roman, fait-on autre chose que de passer de l'anonymat à l'oubli ?

Connaissez-vous la différence entre une femme qui a ses règles et un terroriste ? Avec un terroriste, on peut négocier.

Pour que les gens tombent amoureux de vous, il n'y a pas trente-six méthodes : il faut s'en foutre complètement. Stratagème infaillible. Les hommes et les femmes sont pareils : ils deviennent fous de ceux qui s'en foutent.

Pourquoi est-il si agréable de baiser sans capote ? Parce qu'on prend les deux risques principaux : donner la vie et attraper la mort.

Trop vulnérable au physique. Trop perméable à la séduction. Je suis une victime de la beauté féminine comme il existe des victimes de la mode.

Il n'y a rien de plus laid qu'un homme qui se trouve beau.

Quand une femme n'est pas niquée, elle est paniquée.

Il y a deux choses que l'homme est incapable de faire : partir et rester.

Good girls go to heaven, bad girls go to Ibiza.

L'amour consiste à inventer la personne que l'on aime, avant de la connaître.

On dit souvent que la beauté est aux femmes ce que le pouvoir est aux hommes : leur premier atout de séduction. On ne dit pas qu'un joli visage est aussi une barrière. La beauté attire les crétins vulgaires et laids, et effraie les timides intelligents et tendres. Elle effectue un mauvais tri ; c'est pourquoi les jolies filles sont toujours avec des connards.

Réaliser ses fantasmes, c'est tuer l'espoir.

Il n'y a pas plus raciste qu'un homme amoureux : il ne s'intéresse plus qu'à une seule personne et toutes les autres peuvent crever.

On n'aime les êtres que quand ils nous rejettent ou nous échappent.

Si personne n'appartient à personne, alors personne ne s'occupe de personne, et ce sera chacun pour soi pour l'éternité.

Bonus Track :

Malheur à ceux que le malheur évite. (Le Poète)

On n'est heureux qu'avant d'être heureux (Jean-Jacques Rousseau)

Quand tu sais pourquoi tu aimes quelqu'un, c'est que tu ne l'aimes pas. (Jean-Marie Périer)

Pourquoi faudrait-il aimer rarement pour aimer beaucoup ? (Albert Camus)

L'amour fantasmé vaut bien mieux que l'amour vécu. Ne pas passer à l'acte, c'est très excitant. (Andy Warhol)

vendredi 1 janvier 2010

2010

Comme il est de coutume, la nouvelle année commence avec les résolutions. Je ne sais pas si je vais arriver à tout faire mais je vais m'y employer du mieux que je peux. Voici donc ma liste (non exhaustive) d'anti-bonnes résolutions pour 2010 :

- Fumer un paquet de cigarettes par jour
- Ne plus sortir de chez moi, sauf pour aller acheter mes clopes
- Faire une overdose de conquêtes féminines
- Prendre l'ascenseur et non plus l'escalier pour monter mes 5 étages
- Voter UMP aux Régionales
- Arrêter totalement le sport
- Ne plus me laver les dents, ni me laver tout court
- Prendre 10 kilos avant l'été
- Donner de l'argent au Téléthon
- Regarder le 20h de TF1
- Ne plus demander pardon
- Dépenser plus que je ne gagne
- Devenir supporter du PSG, ou de l'OM, au choix
- Me faire licencier pour faute grave
- Manger au moins une fois par jour au McDo (ou au Quick)
- Insulter un flic ou un CRS dans la rue
- Ne plus payer mon loyer (désolé papa)
- Prendre une carte de fidélité chez Absolut
- Laisser toutes mes ampoules allumer, prendre ma voiture plutôt que les transports en commun, ne surtout pas trier mes déchets, en un mot : polluer
- Devenir un asocial névrosé et psychopathe...