lundi 31 mai 2010

Munich


La pluie, Königsplatz, l'ancienne Pinacothèque, la nouvelle et la moderne, la Residenz, Marienplatz, le café Richardt, les Apfelstrudel, Maximilanstrasse, la pluie, le Nyphenburg, The Walking Man, l'Englischen Garten, des surfeurs, Alter Peter, Frauenkirch, Hofbräuhaus, le jarret de porc, les danses et musiques fokloriques, les Bavarois pur jus, la pluie, l'Olympiapark, le stade olympique, l'Olympiaturm, l'Allianz Arena (de loin), le musée BMW, ma future Z4, la panne du système de navigation aérien allemand, les deux heures de retard, la pluie...

mardi 25 mai 2010

Pessimiste ou réaliste ?

J'ai un problème (non, ce n'est pas que je t'aime), on me prend pour ce que je ne suis pas. On croit que je suis pessimiste alors que je pense plutôt être réaliste.
Certes, j'ai toujours eu une certaine propension à la mélancolie, à regretter le passé plutôt que profiter du présent, à voire le verre à moitié vide plutôt qu'à moitié plein. Je me sens plus proche de Baudelaire que de Carlos (le chanteur, pas le terroriste). Cela dit, ça ne m'empêche pas d'être un garçon de compagnie agréable, souriant, drôle, et je pense apprécié de quelques êtres humains. Je ne vis pas en ermite, reclus dans un terrier avec pour seule compagnie des pensées suicidaires.

Simplement, quand je vois qu'il m'a fallu attendre 33 ans pour signer mon premier cdi, et que je vais certainement devoir travailler jusqu'à 85 ans pour avoir une retraite décente.
Quand je pense que je ne rencontre que des filles désinvoltes, égoïstes, malhonnêtes et manipulatrices, et que j'ai plus de chances de finir dévorer par mon chat que de fonder un foyer.
Quand je me rends compte que la planète est en train de mourir, que des millions d'humains crèvent de faim, qu'un couple sur deux divorce, qu'un Français sur trois fume, que le déficit de notre belle nation est abyssal, qu'à quelque niveau que ce soit (entreprise, équipe de France, Etat), nos dirigeants sont tellement incompétents et narcissiques qu'ils ne se rendent pas compte qu'ils vont droit dans le mur, que le seul moyen de faire bouger les choses est la Révolution...
Non, dans tout ceci, rien ne m'incite à un optimisme béat.

Mais ça ne m'empêche pas pour autant de vivre, de profiter de ce que j'aime faire, et des gens qui comptent pour moi, de faire des projets, d'avoir pour leitmotiv "Take the best, fuck the rest", etc... Et puis ça fait tout de même quelques années que je n'ai plus pensé au suicide!!! Mais s'il vous plaît, enlevez vos oeillères et arrêtez de me dire que je suis pessimiste...

samedi 22 mai 2010

Mais qui sont tous ces gens ?


Etant un utilisateur quasi quotidien du périphérique parisien, à des horaires divers et variés, je ne cesse de m'étonner du monde qui m'entoure, me suit ou me précède sur ces quelques 80 kms de routes qui encerclent Paris. De 6h du matin à 23h il y a beaucoup de trafic, et les heures de pointe ne se limitent pas à 7h30-9h30 et 17h30-19h30. Non, prenez le périph à 11h00, 15h00, et même 22h00 (surtout le week-end), et vous aurez de fortes chances d'être ralenti, voire pire, pris dans un bouchon. J'ai donc une question qui m'interroge : Mais qui sont donc ces gens qui fréquentent ce maudit périph à toute heure du jour comme de la nuit ???

Personnellement, mes horaires de travail varient d'un jour sur l'autre et peuvent m'obliger à le prendre à 7h00, 10h30, 15h00, 16h30, 19h30 ou 00h30, je suis donc l'exemple type du mec qui peut m'y retrouver n'importe quand. Mais mon boulot est atypique, et que je sache, la grande majorité des travailleurs ont des horaires dits de "bureau", c'est à dire en visant large 9h00-18h00. Ils n'ont donc aucune raison de me piquer un bout de route à 15h00!! Admettons, il y a les artisans, les taxis, les VRP, les commerciaux (j'en oublie certainement d'autres) qui peuvent se retrouver là à n'importe quelle heure, tout comme moi, mais ce n'est pas suffisant pour boucher une 4 voies, si ?
Pour le vendredi après-midi, je veux bien comprendre que certaines personnes partent en week-end plus tôt et peuvent se retrouver sur la route, mais pour les autres jours ?
Alors certes, les RTT, qui permettent de prendre un jour de repos n'importe quand, ont certainement contribué à augmenter le trafic routier les jours de semaine, mais non, je me refuse à croire que cela soit suffisant...
Mais qui sont ces gens à la fin, d'où viennent-ils, où vont-ils ? Ne pourraient-ils pas prendre les transports en commun plutôt que leur voiture ? J'aimerais pouvoir les arrêter un par un pour leur poser la question, afin d'avoir des statistiques précises et des réponses à mes questions, mais ça me mettrait en retard pour le taf et risquerait d'énerver mon rédac chef! Je crois donc que cela restera un des nombreux mystères de la vie que je ne résoudrai jamais...

J'ai également une autre question qui découle de la première : Comment se forment les bouchons ? En effet, il m'arrive assez souvent de me retrouver arrêté sur le périph alors que rien ne bloque la circulation : pas d'accident, pas de sanglier qui traverse la route, pas de manifestation d'agriculteurs en colère, rien! Mais par l'opération du Saint-Esprit, pour une raison totalement inconnue, ça bouchonne au point de provoquer l'arrêt des voitures sur la voie. Et le plus "drôle", c'est que ça coince toujours dans les mêmes zones, et se décoince au même endroit, comme si un Dieu s'amusait à nous bloquer et nous débloquer à sa convenance.
Une camarade de jeu m'a donné cette réponse : «Le bouchon se forme parce que les gens collent de trop près la personne de devant, ce qui oblige lors d'un ralentissement à freiner plus que nécessaire pour ne pas rentrer dans celui de devant, chacun est donc amené a freiner de plus en plus fort et y'en a donc qui vont devoir s'arrêter!» J'avoue que la réponse a du mal à me convaincre. Il suffirait donc de laisser plusieurs mètres entre chaque voiture pour qu'aucun bouchon ne se forme ? Si c'était si simple, tout le monde le ferait, non ?

mardi 18 mai 2010

Un week-end au paradis de l'enfer


D'habitude, je ne parle pas de mon boulot sur ce blog, parce qu'il n'y a pas grand-chose à en dire, même si en fait il y aurait beaucoup à raconter. Mais c'est juste qu'il n'est pas évident de le traiter avec la même ironie que le reste. Bref! Pour la première fois en un peu plus de quatre ans, je suis parti en reportage pour mon taf le week-end dernier, afin de suivre le Grand Prix de F1 de Monaco. Un événement pour moi, que j'attendais avec impatience et une certaine anxiété, mais qui ne s'est pas vraiment passé comme je l'espérais...

En fait c'est au niveau de la logistique que ça a merdé. Comme la décision de partir a été prise quasiment au dernier moment, et que ce week-end là sur la Côte il y avait outre le Grand Prix le Festival de Cannes, ça été un peu la galère pour me trouver vol et hôtel. Du coup je me suis retrouvé à "Perpète les Oies" et mon vol du retour était très (trop) tôt pour que je fasse tout ce que j'avais à faire à la fin de la course.

Vendredi : lever à 6h45, je décolle de chez moi (Paris 18e) à 7h45, je choisis de me rendre à Orly en voiture plutôt qu'en transports, ce sera moins long. Sur la route pas de souci, à l'aéroport pas de souci, au contrôle des bagages pas de souci, je n'ai ni bombe, ni couteau, ni pistolet, ni bouteille d'eau dans mon sac... Ah si merde, quand même, une bouteille d'Evian, faut que je la laisse!! Mon avion décolle à l'heure (9h30) et atterrit à l'heure (10h50). Heureusement car ma première mission est de récupérer avant 13h00 à Monaco mon accréditation, autrement dit mon sésame sans lequel rien n'est possible. Je laisse donc mon sac à la consigne de l'aéroport car je n'ai pas le temps de passer à l'hôtel, et je monte vite dans une navette qui va m'emmener directement sur Monaco par l'autoroute. Un peu moins d'une heure plus tard, elle me lâche sur le Rocher, mais pas vraiment où je dois me rendre. Je pars donc à pieds à la recherche du centre d'accréditation. Mais si je trouve facilement la salle de presse, qui est bien indiquée, point de centre d'accréditation. Il est bientôt 12h30, je commence à m'affoler. Je demande mon chemin à plusieurs personnes, qui m'indiquent tous une direction sans être bien précis, un flic me renvoie même d'où je viens (ils sont aussi nuls qu'à Paris, c'est rassurant!), quand, enfin, petit miracle, je trouve mon "accreditation center", qui se résume en fait à deux tentes paumées sur un bout de fronton. Je donne mon nom et je récupère ma petite carte verte qui va me permettre de me balader presque où je veux pendant trois jours. Première mission accomplie. Direction la salle de presse, où je mouline un peu avant de comprendre comment ça marche. Mais je peux enfin travailler, je me détends...

La fin de journée arrive, il est environ 20h. Il faut donc que je regagne mon hôtel. Je dois tout d'abord me rendre à la gare de Monaco pour prendre un TER. C'est parti pour 20 minutes de marche, toujours avec mon ordinateur en bandoulière. Arrivé à la gare, j'achète un ticket et rejoins mon quai : 15 minutes d'attente avant le prochain train. Je monte dans le train, trouve une place assise. On démarre. Bien sûr c'est un omnibus, il s'arrête donc à toutes les gares entre Monaco et Nice : 25 minutes de trajet. A la sortie de la gare, je dois prendre un bus de ville pour rejoindre l'aéroport, afin de récupérer mon sac laissé à la consigne (vous suivez toujours ?). Coup de bol, il y en a un qui va partir juste quand j'arrive. Manque de bol, ce n'est pas la ligne directe, il s'arrête tous les 300 mètres : 30 minutes de trajet. Arrivé à destination, je descends du bus, mais je trouve que l'aéroport ne ressemble pas à celui du matin. C'est parce qu'il y a deux terminaux, 1 et 2, et que je ne suis pas au bon. Ouf, une navette relie les deux terminaux. Merde, elle vient de démarrer devant moi! 10 minutes d'attente. J'arrive enfin au terminal 2, il est presque 22h. Je vais récupérer mon sac, il est toujours là à m'attendre, encore heureux. Je commence à avoir faim. Coup de bol, il y a un Quick dans le terminal. Manque de bol, il est en train de fermer. De plus je tombe sur une vendeuse en formation qui a un peu de mal à faire fonctionner ses deux neurones. Elle préfère demander à son chef si elle peut offrir des hamburgers gratuits aux beaux gosses ("Non", lui répond-il) plutôt que se concentrer sur ma commande. Résultat : elle se trompe dans la taille du menu et oublie les frites! Je m'en rends compte une fois sorti, trop tard, le Quick a fermé entre temps. C'est pas grave, je file chercher un taxi pour rejoindre mon hôtel, qui se trouve à quelques kilomètres de l'aéroport. Je monte dans la voiture, annonce ma destination au chauffeur, qui me répond : "Ah mais vous avez une navette qui peut vous y emmener, il faut la commander à l'accueil de l'aéroport." Et il me raccompagne gentiment vers la sortie de son taxi. Je rentre donc dans le terminal, vais à l'accueil, trouve un téléphone collé au bureau, décroche, tape quatre touches sur le clavier, me présente à une demoiselle de l'hôtel, lui dit où je suis et pars m'asseoir attendre ma navette. Quelques minutes après, là voilà qui arrive. Je monte dedans, fais un sourire au chauffeur, et jette mon regard vide dans le paysage de zone commerciale qui défile devant moi. Quelques minutes plus tard j'arrive enfin à mon hôtel, je récupère ma clé, monte dans ma chambre et m'effondre sur mon lit. Mais non, je n'ai pas pleuré...

Je vous épargnerai le reste de mes aventures, qui seraient trop longues à raconter. Juste deux autres événements assez cocasses. Le samedi soir, en arrivant à la gare de Nice à mon retour de Monaco, je m'aperçois que tous les regards des passants sont tournés vers la même direction. Logique, un bar situé à 50m de la gare est en train de brûler, les pompiers arrivent pour l'éteindre. Résultat, bouclage du périmètre, les bus ne viennent plus prendre de passagers, il faut marcher 15 minutes à pieds pour aller chercher celui qui va me ramener à l'aéroport, pour que je récupère ensuite la navette qui me ramène à l'hôtel (j'espère que vous avez suivi!). Dimanche soir, je quitte en urgence le circuit à 17h00 car j'ai un vol à 19h00, je ne peux donc pas faire tout ce que je souhaite, mais tant pis, ainsi va la vie. Le TER est blindé avec tous les spectateurs du Grand Prix, mais c'est pas grave, ainsi va la vie. Je prends un taxi pour faire le trajet entre la gare et l'aéroport : 30 euros pour 10 km, mais c'est pas grave, ainsi va la vie. Et quand j'arrive dans le hall du terminal 2, que vois-je ? Mon vol a 25 minutes de retard! 25 minutes qui vont, une fois bien installé dans l'avion, se transformer en une heure de retard! Ce n'est pas grave, ainsi va la vie. Pour nous faire patienter, les hôtesses d'Air France nous offrent généreusement... un verre d'eau. Je pense que si un Dieu avait décidé de me dégoûter des reportages, il ne s'y serait pas pris autrement.

lundi 10 mai 2010

Iron Man 2


C'est l'histoire d'un mec, Tony stark, homme d'affaires et inventeur milliardaire, qui lorsqu'il ne travaille pas, endosse l'armure d'Iron Man, qu'il a lui même créée dans l'opus n°1. Dans ce deuxième épisode, il va à la fois subir la pression du gouvernement américain pour partager sa technologie avec l'armée, et affronter un nouvel ennemi qui a un lien avec son père. Il va également trouver de nouveaux alliés et essayer de conclure avec son ancienne secrétaire, devenue PDG de la société Stark.

Iron Man 2 est l'exemple typique d'une suite moins réussie que le film original, d'une volonté de faire plus qui ne revient pas forcément à faire mieux. Lorsque j'avais vu le premier, j'avais pris une claque dans la gueule. Là, j'ai juste pris une petite tape amicale sur la main. Certes, en deux années, les effets spéciaux ont progressé et permettent de réaliser des scènes encore plus spectaculaires et immersives, comme le saut dans le vide d'ouverture ou la bagarre dans la maison de Stark. Il y a nettement plus de tout dans le n°2 : plus de personnages, plus d'armures, plus d'explosions... Mais pour quel résultat ?

Ce qui faisait la richesse du premier volet, outre les effets spéciaux, c'était la personnalité de Stark et la relative profondeur du scénario. Et ils ont quasiment disparu. Le héros est toujours le même (narcissique, égoïste, impulsif, cynique et riche), on le connaît déjà, le plaisir de la découverte est passé. Il n'a pas beaucoup évolué même si les scénaristes ont essayé de lui donner une touche plus "humaine" en brodant un semblant de relation avec son père. Heureusement, Robert Downey Jr cabotine avec toujours autant de plaisir, et incarne parfaitement son rôle, si bien qu'on ne voit pas qui d'autre que lui pourrait être Stark.

Mais face à lui, quelle pauvreté! Les personnages secondaires sont trop... secondaires, et manquent de finesse et/ou de profondeur : Moi, Mickey Rourke, méchant! Moi, Scarlett Johansson, femme fatale! Moi, Sam Rockwell, méchant! Moi, Gwyneth Paltrow, potiche! Iron Man 2 n'est pas le premier Blockbuster à avoir ces défauts, mais justement, le n°1 avait plutôt bien évité cet écueil, et la comparaison est inévitable. Et que dire de l'apparition miraculeuse de Samuel L. Jackson/Nick Fury qui va sauver Stark et le monde par la même occasion... Là, on frise le ridicule! Espérons que si n°3 il y a (et n°3 il y aura sûrement), les producteurs mettront plus d'argent dans le scénario, quitte à faire exploser moins de choses...

mercredi 5 mai 2010

Il était une fois...

Il était une fois dans un pays très lointain appelé l'enfance
Un petit garçon à peine plus haut que trois pommes
Sa vie était simple et s'écoulait comme un fleuve tranquille
Il allait à l'école où il apprenait à lire et à écrire
A la récré il jouait avec ses copains, à chat (perché) ou au foot
Il embrassait son amoureuse sur les joues, et lui tenait la main
Il vivait dans une grande maison, avec un jardin et une salle de jeux
Au petit déjeuner il mangeait des corn flakes, aux repas des pâtes et du jambon
Il écoutait Dorothée et Chantal Goya, regardait des dessins animés
Le soir dans son lit il imaginait que des monstres entraient dans sa chambre
Alors il fermait les yeux et faisant semblant de dormir pour qu'ils disparaissent
Le mercredi il apprenait à jouer au tennis alors qu'il était plus petit que le filet
Le week-end il allait jouer chez ses copains, ou rendait visite à ses grands-parents
Il partait en vacances au ski l'hiver, à la mer (Hossegor et Port-Grimaud) l'été
Plus tard, il rêvait d'être astronaute, footballeur, pilote de chasse ou de F1
De temps en temps il se bagarrait avec son grand frère, forcément
Il observait ses parents se démener dans le monde des adultes
Lui n'avait aucun souci, il était heureux, tout simplement
Et il espérait très fort ne jamais grandir. Mais la vie en a décidé autrement...

dimanche 2 mai 2010

Le monde merveilleux de Facebook (3)


Quand on croit qu'il n'y en a plus, il y en a encore. Les gens redoublent d'imagination pour nous offrir des statuts tous plus délirants les uns que les autres...

«ouf journée de nettoyage des poussières et des crasses qui s'accumulent, il ne me reste que le sol à faire, je le ferai quand j'aurai viré mes deux vieux meubles et installé la nouvelle table dans le salon ^^»

«châtain clair doré ? châtain chocolat ? châtain caramel ? trop dure la vie...»

«il est difficile de dire adieu quand on veut rester, compliquer de rire quand on veut pleurer, douloureux de baisser les yeux quand on veut regarder mais le plus terrible c'est de devoir oublier quand on veut aimer...»

«Tu veux être le roi? Tu veux être le prince? Traite moi comme il se doit, traite moi comme une princesse. Tu veux être le mâle, tu veux être le boss? Traite moi comme une femme et j'te traiterais comme un homme.»

«zakonczenie sezonu siatkarskiego . ostatni mecz ligowy piatek 16sta kamieniec. iskraaaaaa ! ;)»

«pense se prostituer pour obtenir un stage en entreprise?»

«Peu importe ce que tu donnes a une femme, elle le rendra meilleur! Donne lui du sperme, elle te donnera un bébé, donne lui une maison, elle en fera un foyer, donne lui un sourire, elle te donnera son coeur, elle multiplie et élargit ce qu'on lui donne. Donc, si tu lui donne de la merde, t'etonne pas qu'elle te fasse chier!!!!!!??»

«Sept péchés capitaux, un pour chaque jour de la semaine.»

«se demande pourquoi sa fille lutte pour ne pas s'endormir chaque soir après le biberon de 20h30 et râle jusqu'à 23h...»

«Une excellente soirée. Espère recroiser cette grosse tête de vache avec sa cochonne, ce serait les emmerdes à vie pour eux!»

«ne veut plus avoir le cul dans une voiture !»

«qu'est-ce que les hommes aiment encore plus que le sexe?»

«Chuck Norris est contre les radars automatiques : ça l'éblouit lorsqu'il fait du vélo»